15/04 à Roubaix.
À la question qu’est-ce que je fais en ce moment, je répondrais que je passe beaucoup de temps, à concevoir l’architecture d’un projet toujours autour de π. J’aimerais réussir à transmettre l’histoire que j’ai en tête : cette idée de passage et de superposition de la réalité physique et de la réalité imaginaire. Dès que j’écris les histoires, que je m’invente avec π, j’ai l’impression de les appauvrir et de les figer. Résultats, je les enfouis dans mon cerveau sans rien en faire. Une énigme encore sans réponse.